Le 21 avril 2020
La dictature démocratique
C’est un peu la réponse à la question: mais c’est bizarre quand même que les dirigeants veuillent mettre le pays en faillite cela apparaît contre leurs propres intérêts?
En regardant cette vidéo me sont venues quelques associations que je vous livre.
https://www.youtube.com/watch?v=UKOkYzg2tJk.
69,2 k abonnés
Avec la crise, avec les risques d’effondrement économique les banques risquent-elles de faire faillite? Bonne vidéo de bon sens
Une faillite bancaire à MT (c’est à dire 24 mois): pourquoi?
En raison des nombreuses faillites, personnelles, entrepreneuriales suite à la crise.
Les emprunts que les entreprises et particuliers ne pourrons rembourser constituent l’actif de la banque, ses créances.
Au passif de la banque se trouvent les dépôts des particuliers et des entreprises qui sont des dettes pour la banque.
Les emprunts et les dépôts sont d’un montant presque identique, l’un compensant l’autre dans le bilan d’une banque.
Plus de remboursement d’emprunt signifie pour la banque qu’elle ne restituera pas les dépôts de ses clients, ceci par compensation.
Les faillites bancaires seront donc la conséquence des faillites de entreprises et des particuliers
(Il parait sage de retirer son argent avant que les limitations de retrait en tous genres n’arrivent comme se fut le cas en Grèce à partir de 2011.La banque est propriétaire de nos avoirs, relisez le contrat que vous avez signé lors de l’ouverture de votre compte bancaire. L’épargne française est de 27 milliards d’euros, sous forme de placements bancaires, assurance vie, livret A, et donc sous forme d’avoirs bancaires, dont vous n’êtes pas propriétaire et qui peuvent être sujet à spéculation, pour une part, comme l’assurance vie: portefeuille composé de produits financiers)
Et, bien sûr, toutes les aides que l’état est en train d’accorder à raison d’un milliard d’euros par jour, qui les paiera?
Nous, la dette de l’état, que l’on appelle la dette souveraine, est en train de se creuser, d’augmenter.
Se profile alors quelque chose d’assez similaire à ce que la Grèce a connu dans le cadre du remboursement de sa dette: mesure de restriction dans tous les sens, privatisations, vente du pays en petits morceaux aux investisseurs privés, afin de rembourser la sacro sainte dette.
Risque de faillite bancaire à 24 mois, c’est à peu près le temps que va prendre le déconfinement, c’est à dire la réduction de la France à la misère, avec la mise en place d’un contrôle policier drastique afin d’empêcher toute rébellion, toute opposition. Crève en silence. Ce n’est peut être pas un hasard si cette épidémie survient après 14mois de manifestations gilets jaunes tous les samedis depuis 2018 en France et dans d’autres pays du monde, et 6 semaines de grève des transports autour de la question des retraites. Un an et demi de rassemblement populaire qui dit non au système. La réponse du pouvoir ne s’est pas fait attendre. Elle prend juste un visage inhabituel: un virus.
Regardons de plus près:
1) Si nous séparons le cas de santé publique du virus et les mesures normales de prises en charge comme il y en a eu pour des épidémies de ce type: SRAS, grippe de Hong Kong en 1968:
-dépistage de la population
-isolement des personnes infectées
-traitement
-mesure de protection, masque, désinfectant
2) Et les mesures prises en réponse à ce virus qui n’ont rien à voir avec des mesures de prise en charge de santé publique tout en prétendant l’être, mesures qui ressemblent fort à la mise en place d’une dictature (démocratique bien sûr, puisque le peuple est d’accord, les mesures sont liées à un risque sanitaire!)
-pas de masque, pas de désinfectant
-pas de test de dépistage de la population
-confinement, emprisonnement de toute la population
-panne de traitement, conflit d’intérêt, impossible pour un particulier d’avoir accès la chloroquine, certains hôpitaux en ont d’autres pas, brouillard complet sur ce qui est efficace
-modification du code du travail, fin des 35h, fin des congés payés,
-commandes de milliers de drones de surveillances, et de matériel policier de répression
-ordonnance du 25 mars 2020 donnant les pleins pouvoirs aux opérateurs de flux d’installer la 5G https://www.legifrance.gouv.fr/eli/ordonnance/2020/3/25/ECOX2008260R/jo/texte
-modification du droit à la propriété qui est en train de disparaître: https://www.liberation.fr/france/2019/11/28/l-assemblee-nationale-retaille-le-droit-de-propriete_1766117 loi du 28 novembre 2019, nous ne serons plus propriétaire du foncier, du sol, propriété des agences libres, mais du bâti. Le sol c’est ce qui a de la valeur et vaut de l’or, le bâti, c’est ce qui nécessite de l’entretien et du travail.
-préparation d’un vaccin contre le virus, or il n’y a pas de vaccin contre les virus, c’est contre les bactéries qu’un vaccin est efficace. Les virus sont des molécules simples composées d’une chaîne protéique, qui mute régulièrement. (Voir les vidéos de Didier Raoult)
A côté de cela il est possible de préparer une substance nommée « vaccin » dans laquelle on met ce que l’on veut, ça oui, c’est possible, mais ce n’est pas un vaccin qui nous protégera du virus, c’est une manière de nous contrôler nous et non le virus.
-distanciation entre les gens, et donc destruction des liens
-interdiction des rassemblements et donc de toute rébellion organisée
Le discours des politiques en charge de la crise est paradoxal, truffé d’ambivalences, nous n’y comprenons rien.
C’est normal, c’est la caractéristique des systèmes pervers. Il ne s’agirait pas que l’on y comprenne quelque chose de comment on va se faire b….
Tout se passe comme si une crise à la grecque était en train de se fabriquer autour du virus Covid, « coquille vide » pour élites avides. Comme si elle s’était cristallisée autour de ce virus, peut être fabriqué pour la cause, ou non.
Les faits sont là: les faillites se déroulent en cascade, personnelles et professionnelles, les artisans et bien d’autres, mettent la clé sous la porte.
Il y aura donc faillite bancaire. C’est logique et imparable.
Ce qui peut paraître bizarre est: pourquoi l’état veut-il mettre le pays en faillite, les banques en faillite, alors que les élites politiques et les banques marchent main dans la main? Cela parait illogique.
C’est qu’il existe plusieurs types de banques:
Les banques de dépôts (CM, BP, caisse d’épargne), celles où nous mettons notre argent
Les banques d’investissement (Lehmann Brothers, Goldman Sachs) auxquelles n’ont accès que les entreprises, les investisseurs, riches.
Et bien sûr certaines banques de dépôt ont aussi des filiales banques d’investissement
Les banques qui vont gagner de l’argent sur la faillite de la France et d’autres pays européens, en cascade, pour lisser, étaler la récolte des pillages, sont les banques d’investissement.
Ce sont elles qui créent des produits financiers, des produits dérivés qu’elles vendent à d’autres banques et à des particuliers riches. Elles spéculent par le biais de traders que nous connaissons mieux à travers de nombreux films qui leur ont été consacrés.
Elles spéculent sur tout, et fabriquent des produits financiers à partir de tout et n’importe quoi (voir la crise des subprimes 2008, le film » Inside job »)
C’est à la baisse que les spéculations sont les plus juteuses. C’est pourquoi la crise grecque, alors que le pays, sa dette souveraine, est très endetté, a permis aux banques d’investissement de gagner beaucoup d’argent.
La dette souveraine de la France est un produit financier parmi d’autres. Le creusement de la dette souveraine aura pour conséquence des mesures de restriction et de nombreuses privatisations.
Nous comprenons mieux alors que les faillites en masse des particuliers, des entreprises puis les faillites de certaines banques, et l’augmentation de la dette souveraine de la France, avec toutes ses aides qui coûtent aujourd’hui un milliard d’euros par jour, vont favoriser la spéculation et l’enrichissement des banques d’investissement et des investisseurs privés exactement comme ça se passe en Grèce depuis 2010.
La crise grecque permet aux ultra riches de s’enrichir encore plus. Une fois la Grèce exsangue, il est nécessaire, dans une logique de pillage, qui est celle à l’oeuvre sur la planète, de trouver d’autres proies.
Pour le pillage à l’oeuvre sur la planète, voir la conférence d’Aurélien Barrau, astro physicien et écologue, d’une clarté lumineuse:
Les investisseurs de tous pays, indiens, pakistanais, chinois, allemands, quataris….se jettent depuis 2010 sur la Grèce et achètent des plages, l’aéroport de telle ou telle ville, ou île, le port du Pirée acheté le 8 avril 2016 par un chinois: http://cqfd-journal.org/Le-port-du-Piree-rachete-par-le. https://www.francetvinfo.fr/monde/grece/grece-le-port-du-piree-en-plein-boom-grace-a-la-chine_3243477.html. Tout cela orchestré par la FMI pour que la Grèce rembourse « sa dette ». Le pays est taillé en pièces. Pour les mécanismes et l’ambiance des décideurs invisibles: Voir le film »Adults in the room » de Costa Gavras sur la crise grecque, assez proche d’un documentaire
C’est ce qui nous attend. Avidité, voracité, cupidité sont sans limite. De la Grèce ils n’ont fait qu’une bouchée, le plat principal se fait attendre.
Il y a dans cette crise une cohérence et une logique, lorsque nous la regardons sous l’angle d’une crise construite avec une volonté de mettre à plat les gens, de leur piller leurs avoirs bancaires, avant de livrer le pays au pillage via les banques et les investisseurs de tous poils. Ce qui a déjà commencé en France, que ce soit le vignoble bordelais vendu à des chinois, les églises vendues, les projets de privatisation d’aéroports.
Ceci dans la continuité de la crise grecque de 2010-2011. Il n’y a aucune raison pour que les autres pays européens soient en reste. La différence est que la Grèce est un petit pays de 10 millions d’habitants, et le France, l’Espagne, l’Italie sont des pays de plus de 60 millions d’habitants. Autre taille, autre stratégie. L’intention est la même, nuire et s’enrichir sur le dos des autres.
Oui les élites françaises sont en guerre, mais pas contre le virus qui fait diversion et alimente la peur: contre les gens, les humains, les citoyens. Il s’agit bien d’une guerre totale contre l’humain.
Et ça c’est dur à regarder.
En effet il s’agit d’exterminer une grande partie de l’humanité dans le cadre du nouvel ordre mondial à la tête duquel se trouve Bill Gates et les commissions trilatérales, Bildenberg, la BRI et quelques autres. Nous sommes nous humains inutiles à tous ces gens qui n’ont besoin que d’un certain nombre d’esclaves à leur service. Le lancement de l’opération COVID 19, la coquille vide, consiste à générer la peur de la mort, puis la mort, à partir d’un virus soit fabriqué soit inexistant, à mettre en place des mesures de confinement, de port de masques, de tests de dépistages, de vaccins, etc… qui visent uniquement à faire mourir les gens lentement sans que la mort puissent être mise sur le dos des organisateurs de la crise. Il y a des morts Covid avec trucages de statistiques, de tableaux cliniques, et puis les morts de dépression, d’isolement, de ports de masques, ceux qui se suicident car ils ont perdu leur travail, ne peuvent rembourser leurs emprunts, puis il y aura les morts suite au vaccin, etc.. Toute l’affaire est que le COVID soit le responsable de tous nos maux et non les véritables acteurs de l’opération COVID qui sont invisibles. Tout ce que nous voyons chaque jour est créé volontairement : les informations contradictoires, paradoxales ont pour but de bloquer la pensée et donc d’empêcher les gens de réfléchir et de se réunir, le masque et les distances sociales sont là pour empêcher les gens de se réunir, de parler entre eux, il s’agit de saper toute révolte et toute réflexion : c’est une opération brouillard total, afin que les gens se laissent exterminer en silence, sans révolte, de toutes sortes de manières possibles sans lien apparent. Le camp de concentration parfait. C’est un magnifique système pervers auquel nous avons affaire. Dans le même temps se joue une crise économique du même acabit que la crise grecque : le confinement crée des faillites en cascade, de la dette, fait s’écrouler l’économie comme cela a été le cas en Grèce en 2011 sans COVID. Les pays en proie au COVID vont peu à peu selon un calendrier très précis, être soumis au MES, mécanisme européen de stabilité, celui là même qui réduit la Grèce à la misère pendant que le pays est vendu à des investisseurs du monde entier (vente du Pirée, des aéroports, des plages, des îles, des monuments, etc..). Il s’agit bien d’exterminer en douce les populations sous couvert d’un virus, tout en les dépouillant de tous leurs biens. Chaque pays est une proie à dépecer. Nous comprenons que pour bien dépecer chaque pays et en faire ce que l’on veut, il est nécessaire d’endormir, puis d’anéantir les populations qui le composent. Nous avons eu tort de croire que les camps de concentration avaient disparus. Ils n’ont jamais cessé. Là ce qui nous est proposé c’est un camp de la mort à l’échelle planétaire puisque nous sommes en mode mondialisation.
Vidéos supprimées
Commentaire : https://www.youtube.com/watch?v=s6uHFY_lVLU
https://www.youtube.com/watch?v=xt_8t02QArQ&feature=youtu.be